Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/167

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Et puis ? Le sais-je… ma vie, mon sang.

Mademoiselle Lange haussa les épaules.

— Pauvre ami, dit-elle, vous êtes et vous serez toujours jeune.

— Oh !

— Je le crains.

— Mais… pourquoi ?

— Hé ! le sais-je ? Savez-vous pourquoi vous aimez Marion ?

— Non… mais je l’aime !

— Vous l’aimez parce qu’elle vous dé-