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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/172

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— Tandis qu’ils se désespèrent, un lambeau de nuage triste se déchire, un coin du ciel bleu apparaît, une étoile brille, l’étoile polaire, qui montre le nord, c’est-à-dire la route à suivre, c’est-à-dire le salut.

— Eh bien ? fit encore Barras.

— Vous êtes un de ces naufragés, mon ami.

— Et je ne vois luire aucune étoile, soupira Barras.

— Je vais vous la montrer.

— Vous ?