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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/173

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— Sans doute. Pourquoi donc serais-je venue ?

Barras leva sur elle un regard avide.

— Oh ! parlez, fit-il, parlez vite !…

— Ici, et près de mademoiselle Lange, vous êtes un homme faible. Le nom d’une femme vous bouleverse la tête et le cœur, et vous voilà sans forces devant l’indifférence de cette femme !

— C’est vrai, hélas !

— Mais, hors d’ici, vous devenez le pre-