Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/106

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Parce qu’elle a causé avec Bernier ?

— Rien que pour cela.

— Dis donc, Solérol, fit Scœvola, j’ai quelque chose à te proposer.

— Touchant Bernier ?

— Oui.

— Tu tiens à le garder ?

— Mais, dame ! il est hors d’état de se sauver tout seul. Il a reçu dix ou douze coups de baïonnette.