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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/107

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— Eh bien ! fais-lui donner un coup de poignard qui se perdra dans le nombre. Il sera mort de ses blessures.

— Oh ! non, dit le chef de brigade, dont l’œil laissa jaillir un éclair de haine, je lui veux le conseil de guerre.

— Bah !

— La dégradation… l’échafaud !

Scœvola haussa les épaules.

— Et tout cela, dit-il, parce que Bernier a été l’amant de la Lucrétia.