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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/12

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— Oh ! non pas, répondit Solérol, il ira à pied.

— Mais je ne pourrai pas trotter ?

— Vous pourrez galoper, si bon vous semble, madame, dit le Bouquin, je cours comme un dératé, et Blanchette ne me dépassera que si je le veux.

— Allons, fort bien !… dit mademoiselle Lange ; je vais m’habiller et je descends.

Après avoir sellé et bridé la jument, le Bouquin l’attacha à un anneau de fer qui se trouva près de la porte.