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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/13

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Mademoiselle Lange avait refermé sa fenêtre.

Le chef de brigade et le Bouquin échangèrent un regard.

Puis le Bouquin dit tout haut :

— Je vais mettre mes souliers, je ne peux pas courir avec des sabots.

En effet, il était chaussé de sabots dans lesquels il avait fourré de la paille pour se tenir les pieds chauds.

Depuis l’incendie de la ferme de la Ravaudière, les Brulé logeaient aux Soulayes,