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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/120

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Quand elle fut arrivée tout en haut, parmi les bruyères, elle s’arrêta.

La pente était rapide, et les bois descendaient vers l’Yonne.

Elle regarda à gauche et aperçut, dans le lointain, les poivrières du petit manoir des Roches.

Elle se tourna ensuite à droite, et vit le moulin que lui avait indiqué le Bouquin. Mais les bruyères étaient épaisses, et on n’apercevait au travers aucun chemin frayé.