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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/121

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Après le terrible accident qui venait de lui arriver, la pauvre femme était en droit de redouter un précipice entr’ouvert sous ses pieds derrière chaque broussaille.

Elle n’avançait donc qu’avec précaution, regardant à ses pieds, et marchant dans la direction du moulin.

Tout à coup une voix claire et sonore se fit entendre sous le couvert, et mademoiselle Lange tourna la tête.

Cette voix chantait un refrain naïf du