Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/131

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le braconnier regarda mademoiselle Lange avec une défiance nouvelle.

— Vous étiez à cheval, dit-il.

— Je vous l’affirme !

— Et votre cheval est tombé dedans.

— C’est comme je vous le dis.

— Alors ce n’était pas un cheval du pays.

— Pourquoi ?

— Mais parce qu’ils connaissent ça, les chevaux de par ici.