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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/132

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— C’était une jument blanche que j’avais prise aux Soulayes.

— Blanchette ?

— Justement.

— Allons ! allons ! ma petite dame, aussi vrai que je me nomme Claude le rebouteux, vous vous gaussez de moi.

— Je vous jure que non.

— Blanchette a chassé vingt fois par ici, et elle est trop adroite.

Mais, comme il parlait ainsi, le braconnier regardait machinalement les mains