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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/133

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blanches de la jeune femme, et tout à coup il l’interrompit pour lui dire :

— Oh ! cette bague bleue… j’en ai vu une toute pareille.

Mademoiselle Lange tressaillit.

— Et celui qui la portait m’a dit, pas plus tard qu’hier :

« Vois-tu, Claude, mon ami, il n’y en a que deux comme ça, la mienne et une que j’ai donnée. » À qui, je lui ai demandé. « À la femme que j’aime, » qu’il m’a répondu.