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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/139

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Mademoiselle Lange, quoique brisée de fatigue, marchait courageusement.

Enfin, elle et son guide sortirent des bruyères et arrivèrent aux rochers qui surplombent l’Yonne.

Là, les mariniers qui halaient au printemps des barques pleines de charbon ou des trains de bois, avaient tracé une sorte de chemin.

Claude le Rebouteux le prit.