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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/140

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— Nous allons au moulin, dit-il, où vous vous reposerez, car vous paraissez bien lasse.

— Je suis toute meurtrie, répondit-elle, ma chute a été terrible.

— Et vous n’êtes pas morte ?

— Vous le voyez.

— Ce qui prouve bien, dit le braconnier, qu’il y a un bon Dieu, malgré que la République l’ait aboli. Mais avant d’aller