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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/155

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— Dame ! parce que ça m’embête, moi…

— Il n’y a pas moyen de faire autrement.

Le Bouquin haussa silencieusement les épaules.

Un éclair traversa l’esprit du fermier.

Il prit son fils au collet et le secoua.

— Pourquoi me dis-tu cela ? répéta-t-il. Parle, je veux savoir.

Mais le Bouquin demeura impassible.

— Pour rien, donc ?