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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/167

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— Alors qu’est-ce que t’as !

Michelin regarda le Bouquin de travers.

— Je fais ma besogne, dit-il ; fais donc la tienne, toi, le Bouquin.

C’était un robuste garçon que ce Michelin. Il était né au château. Il adorait madame Solérol, il haïssait le chef de brigade.

Depuis que madame Solérol était partie, Michelin était devenu sombre et méditait quelque coup.