Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/168

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Eh bien ! dit le Bouquin, c’est justement parce que je veux faire mon métier que je m’adresse à toi.

— C’est différent, murmura Michelin d’un ton glacé.

— Tu es valet de charrue, toi ?

— Et je m’en vante, dit Michelin : je laboure droit comme le clocher de Châtelcursois.

— Moi, dit le Bouquin, je suis braconnier, et je m’en vante aussi, je sais crâne-