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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/210

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— C’est vrai.

— Et un homme de sens comme vous, ne fait pas de telles imprudences.

Le reproche était si juste que Brulé ne put résister au besoin de se disculper.

— Que veux-tu ? dit-il, mon fusil était au château. Il fallait y rentrer, j’avais peur que tu ne prisses trop d’avance.

— Vous m’avez donc suivi ?

— À la trace sur la neige.

— Vous êtes malin, papa… mais il fal-