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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/211

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lait l’être encore plus, fallait prendre votre fusil, c’est toujours bon.

— Je ne croyais pas que tu oserais…

— Oh ! moi, j’ose tout… Ainsi ne bougez pas, et écoutez-moi.

— Voyons.

— Voulez-vous être bien payé ? car il paye mal, le Solérol.

— Oui, je sais ; mais tu vas me proposer d’être avec les royalistes.

— Justement.