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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/266

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— Où est-il donc, ce portrait, fit Curtius.

— Dans le chaton de ma bague.

Le chef de brigade avait au doigt une énorme chevalière, dont il développa le chaton.

Ce chaton renfermait en effet une miniature microscopique.

Brulé prit un flambeau, et, en approchant sa main de Solérol :

— Permettez que je voie, notre maître, dit-il.