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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/267

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Brulé regarda.

— Ma fille ! se dit-il.

Mais pas un muscle de son visage ne tressaillit.

Il ne jeta pas un cri ; son cœur ne battit pas plus vite.

— Ah ! dit-il, vous aviez là une belle femme, not’maître.

— Heu ! heu ! ricana Solérol.

— Il faut croire qu’elle vous aimait…

— Oh ! à la folie…