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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/268

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— Puisqu’elle vous donna son portrait.

— Oui, dit le chef de brigade avec fatuité.

Mais Scœvola, lui aussi, s’était emparé de la main de Solérol et examinait la bague.

— Ça ? dit-il.

— Oui, ça, c’est son portrait… balbutia le chef de brigade qui avait la langue épaisse.

— Je ne dis pas non, mais…