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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/317

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Une fois dehors, ils avaient traversé la cour et gagné la petite ferme.

Brulé et son fils étaient oiseaux de nuit ; ils n’aimaient pas se coucher à la brune, comme la plupart des paysans, bien que, quelquefois, ils fussent levés à la prime aube.

D’ailleurs, ce soir-là, Brulé étouffait.

— J’ai besoin d’air, dit-il.

— Vous serez servi, papa, répondit le Bouquin en souriant, car il fait un vrai froid de loup.