Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/318

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Et puis, ajouta Brulé, j’ai besoin de causer.

— Je m’en doute.

— Viens là-bas.

Le père entraîna son fils vers une meule de grain qui se trouvait au milieu de la cour, et ils s’assirent dessus.

De cette façon, ils voyaient à droite et à gauche et étaient assurés de n’être point surpris et écoutés.