Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/319

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Eh bien ! père, reprit le Bouquin, vous voyez, ma sœur Lucrèce a fait des siennes…

Brulé crispa ses deux poings.

— Je la tuerai, dit-il.

— Bah ! ricana le Bouquin, c’est des mots, ça. Vaut mieux nous en servir.

— Comment ?

— Je suis bien sûr qu’elle hait le Solérol.

— Moi aussi.