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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/41

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Puis, les flammes s’éteignirent et la nuit devint épaisse.

Enfin, le matin, quand le jour parut, le château n’existait plus, et à sa place il y avait un précipice affreux, creusé en entonnoir, du fond duquel montait un tourbillon de fumée.

À cette époque d’ignorance, où tout s’expliquait par le merveilleux, le diable fut forcé d’intervenir.

C’était le diable qui était venu chercher l’âme du châtelain que ce dernier lui avait