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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/49

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C’était la jument qui respirait encore, mais s’était brisé les quatre jambes.

Des arbustes poussaient dans les anfractuosités rocheuses du cratère éteint.

Le Bouquin regarda encore et finit par découvrir le corps de mademoiselle Lange accroché à une branche d’arbre, un peu au-dessus de la jument.

Le corps était immobile.

— Elle est morte ! pensa le Bouquin.

Puis, comme il était descendu vingt fois dans le Saut-du-Loup, en suivant une sorte