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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/50

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de petit sentier qui courait en zig-zags à travers les rochers et les broussailles, il se mit en devoir d’aller chercher le portefeuille.

La descente n’était pas sans péril, mais le Bouquin était leste et adroit comme un singe, et il arriva tout au fond sans avoir glissé ni seulement ensanglanté ses mains.

Le pauvre cheval expirait.

Le corps de l’amazone était immobile dans la touffe de broussailles, mais, selon toute apparence, il n’avait pas touché le