Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/63

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

vait auprès d’elle, et elle l’appuya sur la gorge du vaurien, en lui disant :

— Si tu bouges, je te tue !

Le Bouquin était lâche autant que cruel.

— Grâce, balbutia-t-il.

L’intelligence humaine marche parfois à pas de géant dans les circonstances critiques.

Cette femme qui sortait d’un évanouissement et qui venait d’échapper deux fois