Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/64

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

à la mort, comprit tout en quelques secondes.

Elle s’expliqua la conduite du Bouquin et devina que le vol avait été le mobile de son crime.

— Tu le vois, dit-elle, je suis plus forte que toi, tu es à ma merci.

— Grâce ! répéta le Bouquin.

— Je te ferai grâce si tu parles…

Il jetait sur elle un œil effaré…

— Pourquoi as-tu voulu m’assassiner ?