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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/65

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Le Bouquin hésita à répondre.

Mais il sentit la pointe du couteau piquer sa gorge.

— Parle, ou je te tue ! répéta-t-elle.

— Pour vous voler.

— Imbécile ! Je n’ai pas cent louis sur moi et je puis faire ta fortune.

Ces mots occasionnèrent un éblouissement au Bouquin.

Ce ne fut plus la mort hideuse qu’il vit devant lui, ce fut un fleuve d’or.