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Page:Porto-Riche - Bonheur manqué, 1889.djvu/71

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XXXII


Avril.
Concours hippique.


J’ai ramassé l’œillet comme une fleur perdue ;
Puisque tu dois venir, hâte l’heure attendue ;
Tu vois bien que je t’aime et que tu m’appartiens.

Oh ! je te donnerai l’ivresse du parjure,
Mon front sur ton épaule, et sous ta chevelure,
De crainte que mes yeux fassent baisser les tiens.