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Page:Porto-Riche - Bonheur manqué, 1889.djvu/72

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XXXIII


Avril, même jour.


Et plus tard tu diras, non sans quelque douceur,
Quand la gloire m’aura donné des amoureuses :
Vous n’avez pas connu ses heures douloureuses,
L’époque où mon amour était son défenseur.

Cet homme était sans dieu, sans parents, sans patrie ;
Il vivait lâchement, car tout l’avait déçu.
Aucune d’entre vous ne l’aurait aperçu ;
Il eut l’étonnement de mon idolâtrie.