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Page:Régnier - La Canne de jaspe, 1897.djvu/95

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arqué sur ses mollets maigres et paonnant dans son habit qu’ocellaient les plaques diamantées, je m’inclinai sur la main que l’Altesse tendit à ma soumission et je baisai la bague sigillaire dont j’avais reconnu l’empreinte à la lettre que les vents furieux m’arrachèrent des doigts pour l’emporter dans la mer qui écumait autour de la nue, rocheuse et solitaire île de Cordic. »