» ment odieux au ministère Anglais ;
c’est la destruction totale et non
le triomphe d’un parti, que ce
Gouvernement désire. C’est donc
de ce repaire que partent des lettres
supposées, et en toutes les langues
pour établir de prétendues relations,
et rendre suspects les hommes
les plus estimables. Un Italien,
un Allemand et un Espagnol ont été
enlevés à cet effet ; ceux-ci semblent
prendre leur parti avec calme, l’Italien
seul montre de la joye. Méfiez-vous
de ce dernier, c’est le grand
artisan des trahisons supposées,
des lettres fausses, et des poisons
qui partent de ce séjour. Aussi est-il
particuliérement chéri de Talbot,
qui a fait l’impossible pour que le
sort lui fut favorable à votre égard.
Combien je rends grace au sort qui
m’a conduit le premier, près de
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