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Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/249

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» matière. » Elle recommença alors sa satyre anatomique sur le corps humain. Rien ne fut oublié ; les raisonnemens les plus bizarres furent prodigués par elle, pour prouver notre médiocrité. Enfin, parvenue à ma jambe qu’on me fit l’honneur de trouver belle pour mon espèce, il s’éleva des observations qui déterminèrent la Présidente à exiger une confrontation générale. Le coup de théâtre fut éblouissant, je dois l’avouer ; ma position devenait des plus difficiles. Nircé, les yeux fermés, obligée de soulever d’une main tremblante le bas de sa tunique, véritable voile de la pudeur, Nircé n’étalant qu’un pied divin, indice d’une jambe céleste, produisit un cri général d’admiration. « Que ces contours purs et délicats sont au-dessus des muscles quarrés et secs de la jambe masculine, »