Aller au contenu

Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/250

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 234 )


s’écria Mlle. Fischer, en relevant brusquement jusqu’au genou la tunique de Nircé ; la pauvre enfant poussa un cri, plaça ses mains sur ses yeux et faillit s’évanouir. « Qu’elle est faible encore, s’écria la Présidente ! il est essentiel qu’elle continue à dessiner le nud, et pour la maintenir dans la fermeté et l’assurance nécessaires, deux sœurs de la première force seront présentes à son étude. » J’observai que toutes s’offrirent pour assister la Néophyte et la fortifier dans ses principes. La Présidente en louant leur zèle, en choisit deux anciennes très énergiques, et la Séance fut levée.

Après un quart d’heure de repos, un coup d’aiguillon des surveillantes me dit de reprendre ma position d’Antinoüs ; je me replaçai docilement, ne pensant qu’à Nircé. Elle dit alors à une de ses compagnes :