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Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/427

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» union. Pourquoi le dédain, le mépris se peignent-ils dans vos traits à cette proposition ? Qu’ai-je fait d’assez exagéré pour les mériter ? Daignez raisonner un instant avec moi. J’ai cherché par des moyens chimiques à créer en vous un sentiment ; si je réussis, où est la violence ? Vous suivez alors votre penchant, quelle qu’en soit la cause. Si mes essais sont vains, si mes procédés chimiques ne peuvent vous enflammer, m’avez-vous vu abuser de votre état de faiblesse, et suivie une seule lueur d’exaltation des sens ? Daignez vous rappeller qu’à Ust, je ne profitai pas d’une situation bien propice. J’étais convaincu cependant d’un penchant momentané de votre part ; mais je n’avais pas achevé les opérations nécessaires pour prévenir le re-

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