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Page:Rebell - La saison à Baia, 1900.djvu/115

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IV

UNE COURTISANE ET UN COURRIER

Je ne fus pas peu surpris, en rentrant, de rencontrer dans la première cour Scévinus debout, revêtu d’une toge brodée, alerte, souriant, loquace, faisant des grâces entre deux femmes, dont l’une était une toute jeune fille,