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Page:Rebell - La saison à Baia, 1900.djvu/167

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À BAIA

que jolie chercheuse d’aventures qui m’offre son lit, sa bouche et le secret de sa beauté, pour voir si le désir de mes yeux n’est point un mensonge.

Lis jusqu’au bout : la dernière ligne est la meilleure pour toi.

Je viens de rencontrer Cythéris qui montait en barque. Elle allait faire une promenade dans le golfe. Elle m’a dit : « Caïus ne m’ennuie pas trop. S’il ne veut pas être exigeant, mes lèvres lui gardent encore des baisers. Mais qu’il décide à l’accompagner la petite Flacilla. Après elle, je n’ai rien à lui refuser. »

Eh bien, très cher, Cythéris n’est--