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Page:Renaud - Recueil intime, 1881.djvu/116

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RECUEIL INTIME


Sous le ciel dont la joie au monde est prodiguée,
Ton chant ne saurait pas trouver de note gaie !

Oh ! dis, pourquoi chanter ? troubler la nuit, pourquoi ?
Que l’oubli te suffise, oiseau triste, endors-toi !