Je veux dire, de la partie du même spectacle
faite avec Sara.
220. 6 f. Saint-Léger scribo. (J’écris à la
Saint-Léger.)
221. Régi Lear : tre stolidi. (Je vais au Roi Lear :
les trois sots.) J’ai rapporté ce trait à la fin
du xxxe volume des Contemporaines, dans ma
lettre à M. de la Reynière fils[1].
222. 10 f. Régi Lear bis : a Saint-Léger invitatus non eo. (Je revois le Roi Lear une seconde fois : invité par la Saint-Léger, je n’y vais pas.)
223. 11 f. Comœdia. (Je commence ma comédie : La Prévencion nationale.)
224. 14 f. Epistola a Saint-Léger. (Lettre de la Saint-Léger[2].)
225. Veneris, 21 f. Prandium apud de la Reynière. (Vendredi, dîner chés M. de la Reynière.)
Vidi suum amicum. (Il m’a montré son ami[3].)
226. 23 Epistola latina. scribo ad. d. p. Lup.
- ↑ Lettre qui contient un dialogue supposé entre un médecin et l’éditeur des Contemporaines. Celui-ci raconte le fait suivant : il se trouvait, le samedi 8 février, à la Comédie- Française où l’on représentait le Roi Lear, près de trois individus qui, au lieu d’écouter la pièce, s’amusaient à la parodier ; il chercha à leur imposer silence, mais vainement, et se prit à maudire le parterre assis, bien qu’il eût écrit autrefois contre le parterre debout. (Voir la note i de la p. 170.)
- ↑ Elle y parle encore de la Dernière Aventure et prie Restif de lui prouver, en la venant voir, qu’il lui pardonne
sa franchise.
Elle aimait en lui l’écrivain, mais repoussait l’amant, ce qui, sans doute, ne fut pas une des moindres causes de l’irritation de notre auteur. - ↑ Probablement M. Aze ; voir sur ce personnage la note 3 de la page 196. — Alexandre-Balthazar-Laurent Grimod de la Reynière (17 s 8-1838), littérateur et célèbre gastronome, fut longtemps ami de Restif. Son ouvrage le plus connu est l’Almanach des gourmands ou Calendrier nutritif, servant de