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Page:Restif de la Bretonne - Mes inscripcions, éd. Cottin, 1889.djvu/218

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80 Mes Inscripcions.

nesse ; je le revoyais souvent autour de l’île, et toujours sa vue me causait une sensacion agréable, en me rappelant les années de ma jeunesse : j’en fis une date par cette raison.

294. 1 Nov. La Procureuse du Roi.

295. 2 9b. La Présidente au grenier à sel.

296. 3 9b. Les Assesseuses ; 4 9*. idem.

297. 5 9b. J’ai été inutilement chés l’abbé Terrasson : j’ai écrit.

298. 6 9b. J’ai envoyé à Gournai[1].

299. Je fais du feu.

300. 8 9b. Vomissement.

301. 9 9b. La Baillive.

302. 10 9b. La Procureuse fiscale.

303. 11 et 12. Fin de la Baillive[2].

304. 13 9b. Sous-fermière : hodie somnium Londotinae majoris. (Songe de Mlle Londo l’aînée.)

305. 14 9b. Compère Nicolas (Je commence le Compère Nicolas). C’est ici une époque précieuze : c’est le jour où j’écrivis les sept premières pages du plus important de mes ouvrages, du plus intéressant, de la produccion la plus vaste", quoique beaucoup moins volumineuse que les Contemporaines ; mais celui-ci est un seul corps, un vaste ensemble : au lieu que les Contemporaines ne sont que la réunion d’une multitude de petits ouvrages.

306. 19 9b. Dolor major a tergo. (Grande douleur entre les deux épaules.)

  1. 1. V. la note 2 de la page 72. L’abbé Terrasson était malade à Gournay. On a vu (note 3, p. 75) que M. de Toustain le suppléait dans ses fonctions.
  2. 2. Toutes ces nouvelles font partie des Contemporaines graduées.