Aller au contenu

Page:Robert - Les Ondins, tome I.djvu/80

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

l’horreur de sa vûe aux Princesses, fit élever son char au-dessus des nues, qui vint ensuite se rabattre dans une très-grande cour, où parurent douze Demoiselles vêtues de verd, qui, après avoir aidé aux Princesses à en descendre, les conduisirent dans un sallon superbe, dans lequel étoit un riche dais destiné pour la Princesse Tramarine. Alors se fit entendre une Musique dont les accords étoient délicieux. Tramarine surprise d’une pareille réception, se sentit pénétrée des nouvelles obligations qu’elle avoit à Bonine.

Le Concert fini, elle descendit de son Trône pour passer dans une autre Piéce où elle