Aller au contenu

Page:Robert - Les Ondins, tome II.djvu/54

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

jours le déplorable sort ; elle dit néanmoins au Prince qu’elle ne croyoit pas qu’il fût prudent, dans les circonstances où elle se trouvoit, de chercher à aigrir la Reine de Castora, en faisant à-présent des perquisitions qui sans doute deviendroient inutiles ; que le besoin qu’elle avoit de son secours pour l’aider à reconquérir la Lydie, lui faisoit penser qu’il étoit plus convenable de dissimuler leurs sujets de plainte, jusqu’à ce que je fusse remonté sur le Trône. Ces raisons étoient trop sages pour que le Prince ne s’y rendît pas.

Mais, comme il seroit trop long de vous rapporter toutes