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Page:Robert - Les Ondins, tome II.djvu/53

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ché à Tramarine, que sur la réputation qu’elle s’étoit acquise d’être une des Princesses la plus accomplie qu’il y eût dans le monde, eut beaucoup moins de peine à se résoudre à l’échange qu’on lui proposoit. Cependant il persista toujours dans les conseils qu’il avoit donnés à la Reine, d’employer tous les moyens imaginables pour tâcher de découvrir le lieu que Tramarine auroit choisi pour sa retraite.

Quoique la Reine fût très-piquée de la conduite que Pentaphile avoit gardée, non-seulement dans l’affaire de Tramarine, mais encore dans celle de notre malheureuse captivité dont j’éprouvois tou-