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scènes… Et plus de jalousies absurdes… Je vis à ma guise ! je m’appartiens !… Et tu ne m’espionneras plus, le soir surtout. — Sinon, c’est moi qui partirai.
HUGHES.
Oh ! non, ne pars jamais ! J’ai besoin de toi !
JANE.
Allons ! méchant ! ingrat ! Rentrons !
HUGHES, soudain effrayé, fouillant la nuit aux alentours.
Non ! pas aujourd’hui ! — un autre jour… demain… En ce moment, il y a peut-être une personne qui nous épie, qui marche autour de nous dans le brouillard…
JANE.
Il n’y a que nous deux… Viens…
HUGHES.
Je n’ose pas.
JANE.
Tu auras mes cheveux que tu aimes tant quand ils sont dénoués… et tout moi !