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Page:Rodenbach - Le Mirage, 1901.djvu/146

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années, d’ailleurs, que vous me l’avez prouvé. Soyez raisonnable maintenant. Et ne me parlez plus de ce ridicule départ.

BARBE.

Il le faut, monsieur, il le faut.

HUGHES.

Encore !… Vous recommencez !

BARBE, d’un ton insinuant.

Si monsieur veut que je reste, qu’il ne reçoive pas cette personne.

HUGHES.

Ah ! non ! c’en est trop ! Vous devenez vraiment trop exigeante. Je ne vous retiens plus, Barbe.

BARBE.

J’ai dit très franchement à monsieur ce qui était… que je partirais, et même sur-le-champ, dans le cas qu’il sait…