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Page:Rodrigues - Midraschim et fabliaux.djvu/59

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Mais ne plaignez pas la douleur
D’une âme bien passionnée,
La douleur n’est pas sans douceur,
Quand elle est noblement portée.

L’absence est, aux cœurs amoureux,
Comme le vent des colonies ;
Elle éteint tous les petits feux,
Elle attise les incendies.