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BEETHOVEN

Dans la troisième partie, où la clameur de la tempête monte aux octaves les plus aiguës, la détresse recommence à crier. Mais elle disparaît totalement. Et la Coda ne montre plus que l’Océan déchaîné. avec une furie à peu près continue, et une richesse de dessins et de rythmes qui se combinent ou se combattent, rehaussant, réchauffant, complétant la peinture de ce déchaînement océanique. Devant les ondulations et les iessacs des rythmes : Un seul motif, i’Élémentaire, domine le finale entier, devant les aboiements de la basse accompagnante <